Yahel Neri Shoham, une petite fille de trois ans, au sourire innocent et aux boucles blondes, a été arrachée à la douceur de son enfance. Germano Israélienne, elle vivait dans le nord du pays avec sa famille, profitant de la simplicité de l’enfance. Elle adorait passer du temps avec sa grand mère au kibboutz Be’eri, savourant ses plats délicieux et créant de petits bouquets d’anémones cueillis avec amour dans les plaines environnantes.
Mais un samedi noir, le 7 octobre, cette vie tranquille a été brutalement interrompue. Les barbares du Hamas ont envahi son refuge, la tirant de son lit pour l’emmener en captivité à Gaza. Elle n’était pas seule dans cette épreuve terrifiante : son frère Nave, âgé de sept ans, ses parents Adi et Tal Shohan, ainsi que sa grand mère Shoshan Haran, ont également été emportés. Son grand père, Avshalom Haran, a été cruellement assassiné, une réalité que la petite Yahel ne pouvait ni comprendre ni accepter.
La vie paisible de Yahel a été remplacée par une réalité sombre et effrayante, loin de son chez soi, loin de sa famille et loin de toute notion d’enfance. Sa captivité a duré des semaines qui ont semblé des années, chaque jour apportant un nouveau défi, une nouvelle épreuve pour sa jeune âme.
Mais le 25 novembre 2023, le destin a enfin tourné en faveur de Yahel. Elle a été libérée, avec dix sept autres otages, retrouvant la liberté et la possibilité de retrouver une vie normale. Son histoire est un témoignage de résilience, une preuve vivante de la force de l’esprit humain face à l’adversité.
La vie de Yahel Neri Shoham, avant et après ce 7 octobre, est une histoire de courage et de résilience. Elle est un symbole d’espoir pour tous ceux qui ont été touchés par la terreur et la violence, une lueur d’espoir dans un monde souvent sombre.
- Lieu d’enlèvement : Bee’ri
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