Noam Elyakim était un homme comme les autres, un homme qui aurait pu être notre voisin, notre ami ou notre collègue. Il était Israélien et vivait une vie normale dans son pays natal, jusqu’à ce que le destin en décide autrement.
Noam avait 47 ans quand il fut enlevé à Nahal Oz. Un jour ordinaire qui s’est transformé en cauchemar, un cauchemar qui allait durer indéfiniment. Il n’a jamais été libéré. La date de son décès n’a jamais été annoncée. Le silence qui entoure sa disparition est aussi épais que le brouillard qui enveloppe le mont Hermon en hiver.
Il ne s’agit pas simplement de l’histoire de Noam Elyakim. Il s’agit de l’histoire de toutes les victimes du terrorisme, de toutes les personnes qui sont prises en otage et dont la voix est réduite au silence. C’est l’histoire d’une humanité qui est mise à l’épreuve, d’une humanité qui doit lutter pour sa survie, pour sa liberté.
Noam Elyakim a été assassiné par le Hamas. Un acte brutal, inhumain, qui nous rappelle à quel point la vie peut être fragile, à quel point il est important de chérir chaque instant, chaque sourire, chaque moment de bonheur.
En mémoire de Noam, nous souhaitons qu’il repose en paix. Nous souhaitons que son histoire ne soit pas oubliée, qu’elle serve de rappel de la cruauté du terrorisme et de l’importance de lutter contre lui.
Nous ne pouvons pas changer le passé, mais nous pouvons nous engager à construire un avenir meilleur, un avenir où des histoires comme celle de Noam Elyakim n’auront plus leur place. Un avenir où la paix, la justice et la liberté seront plus que de simples mots, mais une réalité pour tous.
- Lieu d’enlèvement : Nahal Oz
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