L’histoire de Noa Marciano, une jeune Israélienne de 19 ans, est l’une de ces histoires qui défient l’entendement humain. Noa était une jeune fille solaire, débordante de vie et d’amour, comme la décrivait sa mère. Elle était une lumière dans la vie de ceux qui la connaissaient, une jeune femme qui adorait la musique, les livres et qui avait un avenir prometteur après avoir obtenu son diplôme du lycée de Modi ‘hin. Elle était la grande sœur de trois petits frères, une figure d’ancrage dans leur vie.
Le 7 octobre, un jour comme un autre, Noa a été enlevée à Nahal Oz. Sa mère, Adi, était au téléphone avec elle lorsque l’attaque a eu lieu. L’horreur et l’incompréhension se sont mêlées à la douleur et à l’angoisse. Une semaine plus tard, le Hamas a diffusé une image de Noa, menottée. Cette image a été un choc pour sa famille et pour tous ceux qui la connaissaient. Une image qui a marqué le début d’une attente désespérée pour son retour.
Mais Noa n’est jamais revenue. Sa famille, ses amis, son pays, ont attendu en vain. La date de l’annonce de son décès reste indéfinie, tout comme la douleur de ceux qui l’aimaient. Noa Marciano, une jeune fille pleine de vie, a été arrachée à son existence, victime de la cruauté du terrorisme.
Ce récit n’est pas seulement celui de Noa, c’est celui de toutes les victimes du terrorisme, de toutes ces vies brisées par la haine et la violence. C’est un rappel de l’importance de la paix, de la tolérance et du respect de la vie humaine. Noa Marciano, 19 ans, aurait dû avoir toute la vie devant elle. Sa mémoire reste gravée dans le cœur de tous ceux qui l’ont connue et aimée. Sa lumière, bien que brutalement éteinte, continue de briller dans l’obscurité.
- Lieu d’enlèvement : Nahal Oz
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