Fernando Simon Marman, un homme israélo argentin de 60 ans, a vécu une expérience que personne ne devrait jamais avoir à vivre. Sa vie ordinaire, passée à vendre et à réparer des meubles dans un magasin d’ameublement et de décoration à Kfar Saba, a été brusquement interrompue par un événement tragique et terrifiant.
Le matin du 7 octobre, Fernando et sa famille étaient réunis au kibboutz Nir Hitzhak pour célébrer les fêtes de Souccot. C’était une journée qui aurait dû être remplie de joie et de rires, de souvenirs partagés et de nouvelles histoires créées. Mais au lieu de cela, elle a été marquée par la terreur.
Une attaque terroriste a brusquement interrompu leur réunion familiale. Fernando, ses sœurs Gabriela et Clara, le compagnon de cette dernière, Luis, et sa nièce Mia, âgée de 17 ans, ont été pris par surprise. Ils ont tenté en vain de se réfugier dans la pièce sécurisée de leur maison, essayant désespérément de bloquer la porte de l’abri avec une chaise. Mais les terroristes, dans leur furie destructrice, ont enlevé un à un les membres de cette famille sans défense.
Fernando, un homme qui avait passé sa vie à construire des meubles, à créer des espaces confortables pour les autres, s’est retrouvé arraché à sa propre maison, à sa propre famille. Son monde, autrefois rempli de bois de chêne et de tissus moelleux, de rires de clients satisfaits et de conversations chaleureuses avec ses proches, est devenu un cauchemar d’incertitude et de peur.
Mais malgré cette tragédie, ce récit n’est pas seulement une histoire de terreur et de désespoir. C’est aussi une histoire de résilience et de libération. Car Fernando Simon Marman a été libéré. Après une épreuve inimaginable, il a retrouvé sa liberté.
La date de sa libération n’est pas précisée, tout comme la date de l’annonce de son décès reste indéfinie. Mais ce qui est certain, c’est que Fernando Simon Marman n’est plus un otage. Il a survécu à une épreuve qui aurait pu briser n’importe qui. Et bien que sa vie ait été marquée par une telle tragédie, il est important de se rappeler que Fernando n’est pas seulement une victime. Il est un survivant.
Son histoire est un rappel brutal de la réalité de la terreur, mais aussi de la force de l’esprit humain. C’est une histoire qui mérite d’être racontée et entendue, pour que nous puissions tous comprendre l’ampleur de la terreur, mais aussi la force de la résilience humaine.
- Lieu d’enlèvement : Nir Hitzhak
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