Eviatar Kipnis, un nom qui résonne dans les cœurs de ceux qui l’ont connu et aimé. Un nom qui évoque la mémoire d’un homme dont la vie a été brutalement arrachée par une main impitoyable. Un homme qui avait 65 ans et qui possédait une double nationalité, italienne et israélienne. Un homme qui, avant le 7 octobre, menait une vie tout à fait normale.
Eviatar, un Israélien qui avait choisi de faire de sa vie un pont entre deux cultures, deux pays, deux peuples. Un homme qui avait choisi l’amour de la diversité et de la différence, plutôt que la haine et le rejet. Un homme qui avait choisi de croire en l’humanité, en dépit des ténèbres qui menaçaient de l’engloutir.
Mais le 7 octobre, cette vie normale a été brutalement interrompue. Eviatar a été enlevé, victime d’un acte de terrorisme perpétré par le Hamas. Son enlèvement a laissé un vide, une absence, une douleur insoutenable pour ceux qui l’aimaient.
La date de sa libération n’a jamais été annoncée, car Eviatar n’a jamais été libéré. Son destin a été scellé par ceux qui l’avaient enlevé. Il a été assassiné, victime d’une haine aveugle et d’une violence inouïe.
Le décès d’Eviatar n’a pas été annoncé immédiatement. Le silence a enveloppé sa mort, comme pour souligner l’horreur et l’injustice de son sort. Mais son nom et son histoire restent gravés dans nos mémoires.
Eviatar Kipnis, un homme qui a été arraché à la vie, mais dont l’esprit demeure vivant dans nos cœurs. Un homme dont la mort nous rappelle l’importance de lutter contre la haine et la violence, et de croire en l’humanité, malgré tout.
Nous nous souvenons d’Eviatar. Nous nous souvenons de lui non pas comme d’une victime, mais comme d’un homme qui a vécu, qui a aimé, qui a rêvé. Et, dans notre souvenir, Eviatar continue de vivre, de rêver et d’aimer.
Qu’il repose en paix.
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