Adi Shoham, une femme de 38 ans, psychologue de profession et citoyenne israélienne, a vécu une expérience que personne ne devrait jamais avoir à subir. Elle a été enlevée dans sa maison de Bee’ri lors d’une réunion de famille pour célébrer Simha Thora, une fête juive qui marque la fin de la lecture annuelle de la Torah.
Adi, son mari Tal et leurs deux enfants, Navé et Yahel Neri, étaient venus pour passer le week end avec la famille élargie de Adi. Ils étaient en sécurité dans leur maison familiale quand l’impensable s’est produit. Des terroristes armés et masqués ont envahi leur maison, transformant une réunion familiale joyeuse en cauchemar éveillé.
Les parents de Adi, Shoshan et Avshalom Haran, ainsi que plusieurs autres membres de la famille, ont également été pris en otage. Le père de Adi, Avshalom, sa tante Lilach et son oncle Avitar ont été tragiquement assassinés. La maison, autrefois pleine de vie et d’amour, a été incendiée, réduisant à néant la « clinique » pour orchidées de Shoshan.
Adi, Tal et leurs enfants ont été retenus captifs. Les jours se sont transformés en semaines, chaque moment rempli d’incertitude et de peur. Les pensées de Adi étaient constamment tournées vers ses enfants. Se demandant s’ils étaient soignés, s’ils étaient nourris, s’ils étaient consolés lorsqu’ils pleuraient. C’était un cauchemar interminable.
Finalement, après un temps qui a dû sembler une éternité pour Adi et sa famille, ils ont été libérés. Leur libération, bien que certainement accueillie avec soulagement, a aussi été teintée de tristesse pour les membres de la famille qui n’ont pas survécu à cet acte horrible de terrorisme.
Adi Shoham est une survivante. Elle a enduré une épreuve que la plupart d’entre nous ne peuvent qu’imaginer. Mais elle est aussi une mère, une épouse, une fille et une sœur. Elle est un rappel vivant de la résilience humaine face à l’adversité. Sa force et sa détermination sont une source d’inspiration pour nous tous.
- Lieu d’enlèvement : Bee’ri
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