Shifra Noy, une Israélienne de 70 ans, a été tragiquement arrachée à la normalité de sa vie le 7 octobre. Son quotidien, comme celui de tout un chacun, était rythmé par des moments de joie, de tristesse, de partage, de solitude une vie normale. Shifra était une personne comme vous et moi, une personne qui méritait de voir le soleil se lever chaque jour, de sentir la fraîcheur du vent sur son visage, de rire et de pleurer.
Mais ce droit fondamental lui a été dénié. Shifra Noy a été assassinée par le Hamas. Ce n’est pas une statistique, ce n’est pas un simple nom dans un journal. C’est une tragédie humaine, un écho douloureux de la cruauté et de l’inhumanité qui peuvent se cacher dans les coins les plus sombres de notre monde.
Il n’y a pas eu de date de libération pour Shifra. Il n’y a pas eu de retour à sa vie normale. La date de son décès n’a jamais été officiellement annoncée, laissant un vide, une incertitude qui ajoute à la douleur.
Aujourd’hui, nous nous souvenons de Shifra Noy. Pas comme une victime, mais comme une femme qui a vécu, qui a ri, qui a aimé. Nous nous souvenons d’elle comme d’une personne qui a été injustement arrachée à sa vie. Nous lui souhaitons de reposer en paix et nous espérons que sa mémoire servira de rappel de la valeur de chaque vie humaine, et de l’importance de lutter contre la violence et la terreur.
Shifra Noy, nous ne vous oublions pas.
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